Divers sujets s’invitent au menu des quotidiens de ce jeudi 14 septembre 2023, parvenus à la rédaction de Maderpost, de la présidentielle 2024 à la candidature de Thierno Alassane Sall, en passant par Benno après la désignation de Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar.
REVUE DE PRESSE – Abdoulaye Daouda Diallo n’entend pas renoncer à sa candidature à la présidentielle 2024, « ADD, le casse-tête de Macky », soupire SudQuotidien. « Je
Depuis la désignation de Amadou, candidat de la Coalition Benno Bokk Yakaar, le président du Cese ne veut plus rester derrière le choix de Macky. D’après la publication, leur dernier entretien a même failli terminer en eau de boudin, « je ne peux plus rester derrière toi et continuer de subir des affrontements et trahisons de ta part. J’ai tout sacrifié pour toi », fulmine-t-il.
Cependant, Macky a même dépêché une délégation de Médina Gounass, envoyé le Khalife Thierno Amadou Tidiane Ba, de plus, Thierno Madani Tall a pris langue avec lui, mais, le maire de la commune de Boké Dialloubé (Podor) a préféré camper sur sa décision d’être candidat. Les « négociateurs » se sont tournés vers Ouagadougou (Burkina Fasso), pour solliciter l’aide du milliardaire, Harouna Dia, « La dernière roue de secours », qui une source du journal renseigne « a pris son bâton de pèlerin pour résoudre le problèmes ».
« Macky acte le remaniement », nous dit l’Observateur. Le gouvernement de Amadou Ba, formé le 17 septembre 2022, vit ses dernières heures. Il pourrait disparaitre avant son premier anniversaire. En effet, le chef de l’Etat a informé ses ministres, hier, de sa décision de remanier l’équipe avant son départ pour les Etats- Unis prévu dimanche prochain.
Dans un entretien exclusif, « Amadou Ba dixit », affiche le Soleil. Selon le premier ministre : « notre ambition est d’intensifier les acquis du Pse et d’identifier, au fur et à mesure, attente des sénégalais, comme nous l’apprend le président, pour apporter les réponses les plus adéquates », dit-il. Toutefois, « nous continuerons sans arrêt les discussions avec tous nos sœurs et frères », précise le candidat de BBY à la présidentielle 2024.
Bés Bi (le jour) fait le portrait de Mahamad Boun Abdallah Dionne, « Instinct de survie ». D’après la publication, « la loyauté résume la personne » et personne n’aurait parié qu’il n’accepterait pas le choix du président. L’ancien Pm, 64 ans, « semble prêt à résister à la mort politique », souligne le quotidien.
WalfQuotidien place le curseur « cette masse silencieuse qui peut tout faire basculer », à la présidentielle 2024. Le taux de participation constitue un des plus grands enjeux à ne pas négliger. Ces sénégalais estimés à plus de 50% des électeurs inscrits sur le ficher, absentéistes aux locales et législatives de 2022, pourrait aider les « nouveaux partis » à faire la différence lors de la prochaine joute électorale, remarque le journal qui revient sur « le Sénégal dont rêve Thierno Alassane Sall ».
Le leader de la République des valeurs a déclaré officiellement sa candidature, hier, mercredi 13 septembre, « nous ferons du Sénégal la clinique où l’Afrique de l’Ouest viendra se soigner ». Comme Walf, Libération renchérit, l’ancien ministre a décliné ses ambitions, « pour un Sénégal nouveau… grâce aux retombées du pétrole et du gaz, la corruption et la mauvaise gouvernance doivent être éradiquée. Sans cela, aucun développement n’est possible », assure l’ex-coordonnateur de la convergence de Cadres Républicains (Ccr).
Sport avec Stades qui revient sur le grand débrief du match amical Sénégal / Algérie (0-1), « les bonnes et mauvaises notes d’un revers ». Selon les notes de la publication, Sabaly, « toujours lui-même » ; Niakhaté, « parti pour s’installer » ; Illimane, « l’artiste a encore brillé », Lamine, « des débuts tonitruants », tandis que, Pape Matar Sarr a réalisé un match acceptable ; Jackson, « quelle inefficacité ».
En revanche, le quotidien du sport évoque l’inquiétante forme des cadres venus d’Arabie Saoudite, Koulibaly, « un roc diminué » ; Mané, « un nouveau comportement qui fait débat ». Outre, Abdou Daillo, « un central perdu dans les couloirs ».
Maderpost