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FOOTBALL – Nouvel incident aérien au-dessus de la Russie lors de la Coupe du monde. Après le vol de l’équipe d’Arabie saoudite victime d’un moteur en feu lundi, c’est un autre avion, avec 70 Péruviens à l’intérieur, qui a connu le même souci ce vendredi, vingt minutes avant d’atterrir à Moscou.
Dans cet avion de la compagnie Utair qui avait décollé de Iekaterinbourg où le Pérou avait été battu 1-0 par la France, la journaliste Milena Merino était présente.
Envoyée spéciale en Russie pour le média péruvien RPP Noticias, cette dernière a vu l’avion prendre feu, ou plus précisément un des moteurs de l’avion (bruit d’une explosion), à vingt minutes de son atterrissage. La fumée a envahi l’avion. Et le personnel de bord, qui ne parlait pas espagnol, n’a pas pu se faire comprendre en anglais (ou difficilement) pour expliquer les consignes de sécurité aux passagers.
«Il n’y avait pas de masque à oxygène, pas de sécurité», affirme Milena Merino, alors que le média rapporte qu’aucun blessé n’est à déploré.
Une passagère de l’avion, Marcela Reyes, apporte un fait encore plus inquiétant, expliquant qu’après l’explosion, l’équipage n’avait pas pu lui signifier ce qui venait de se produire.
En revanche, on lui aurait glissé ceci : «Attachez vos ceintures, nous allons atterrir.»Puis une précision glaçante en anglais : «Nous allons atterrir si on a de la chance.» C’est fort heureusement ce qui s’est produit.
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