L’opposition a été déçue par la non prise en compte, dans le projet de loi réformant le code électoral, de la question de la participation de Karim Wade et de Khalifa Sall à la future présidentielle. Lors des travaux de commission à l’Assemblée nationale, Antoine Félixe Diome a abordé la question. CODE ELECTORAL – Devant les députés, le ministre de l’Intérieur a expliqué, pour le cas Karim Wade, «qu’il n’est pas de son ressort de dire si un citoyen est autorisé ou pas à être candidat ou à s’inscrire sur les listes électorales.» Il a indiqué qu’il appartient aux services compétents et au personnel prévu par le code électoral, d’apprécier les candidatures ou les inscriptions des citoyens. «Ce n’est ni par arrêté ni par décret que ces questions peuvent être réglées», dit-il. En ce qui concerne l’adéquation entre condamnation et perte des droits civiques, il dira que les textes de loi ne sont pas statiques. « Ils sont appelés à évoluer dans le temps. De plus, leur application relève de la compétence du juge. Cependant, il a précisé que ces questions peuvent susciter d’autres concertations, ultérieurement », dit-il. Maderpost / Igfm]]>
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