Pour l’amélioration des conditions de vie des populations, maintenir les enfants à l’école, favoriser l’inscription à l’état civils entre autres, plus de 355.626 bénéficiaires de la carte d’égalité des chances dont 60% des femmes ont été enregistrés en dix ans par la délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (Dgpsn).
DGPSN – Lancé en 2013 à Taïba Ndiaye (Tivaouane) avec 50.000 bénéficiaires au départ, la protection sociale et à la solidarité a multiplié ses réalisations. Elle englobe trois domaines à savoir l’éducation, la santé et l’Eta-civil avec pour objectif, lutter contre les inégalités. Selon la déléguée Générale à la Protection Sociale et à la Solidarité Nationale (DGPSN) c’est « un pilier de la politique sociale du gouvernement. Cette célébration sera donc une occasion d’informer sur les résultats de la bourse sociale », a précisé Mme Aminata Sow, hier, mardi lors d’un déjeuner de presse dans le cadre de la préparation des dix ans d’existence de ce projet.
« Nous avions avant 2023 près de 316.000 bénéficiaires et nous en sommes actuellement à 355.626 bénéficiaires dont 64.365 qui sont détenteurs de carte d’égalité des changes. En dix ans, la bourse de sécurité familiale a permis aux ménages de mieux faire face aux chocs avec 60% des femmes bénéficiaires », a annoncé le coordonnateur du programme national de bourse de sécurité familiale (Pnbsf), Pape Malick Gningue.
Nonobstant les progrès notés, le coordonnateur du programme souligne qu’il y a des faiblesses aussi s’agissant : « l’irrégularité du paiement, l’insuffisante vulgarisation des résultats de la recherche action (études, évaluations…), l’insuffisance de la communication entres autres. »
Maderpost