On file droit vers une année blanche si la situation n’est pas réglée d’ici au mois d’octobre, selon Dame Mbodji, SG du CUSEMS. Sa collègue Yvette Keïta Diop, syndicaliste du privé catholique, est également aussi inquiète et évoque le spectre d’une année blanche. Extrait de l’émission quotidienne “La Totale”, diffusée sur iTV.
EDUCATION – Pour Dame Mbodji, il faudrait surtout éviter un forcing pour tenir, à tout prix, les examens au mois d’août. Il prévient d’ailleurs que ses collègues ne l’accepteront pas, car cela voudrait dire accepter de valider le passage des élèves sans un quantum horaire minimal. Pour sa part, Yvette Keïta estime que s’il l’année blanche est le dernier recours, il faudrait y aller sans état d’âme.
Dans le contexte actuel du coronavirus, les enseignants sont formels que les solutions prônées par les autorités, notamment, l’apprentissage à domicile via Internet ou la télé et la radio, ne peuvent s’appliquer sur une grande partie des élèves.
Maderpost / Emedia