Les derniers développements sur la question de l’indépendance de l’archipel Chagos défendue par le Sénégal au Conseil de sécurité des Nations Unies ont-ils entrainé des effets pervers jusqu’au Sénégal qui vivrait alors les représailles d’Anglais qui lui feraient payer sa prise de position en faveur de l’île Maurice ?
OPINION – En tout cas, à la suite de l’affaire BBC et l’histoire du pétrole, on pourrait se demander depuis quand est-ce qu’un organe de presse anglais s’acharnerait-il, indirectement ou directement, sur des affaires privées d’entreprises anglaises.
Et se demander aussi et bien sûr, pourquoi le Président Sall, son frère Aliou Sall, et Aly Ngouille sont-ils les plus visés 7 ans après ?
Doit-on croire, comme paroles d’évangile, ces affirmations de BBC ? Voilà de multiples interrogations que je me pose en suivant bon nombre de nos compatriotes dans ce jeu de nos politiciens de l’opposition.
Comme du reste une prolongation à la présidentielle !
La BBC comme les autres organes de presse internationaux ne sont pas les modèles sur le plan du traitement de l’information, comme beaucoup le pensent. Combien de fois BBC et d’autres organes de presse étrangers ont fait des reportages sur “l’attaque impérative” de l’OTAN contre la Libye, la guerre en Irak etc.
On s’est rendu compte, quelques années plus tard, qu’ils ne disaient pas la vérité. Le complexe vis à vis de cette presse étrangère doit cesser. Surtout si on a conscience des soubassement et intérêt qu’il porte à notre pays depuis la découverte du pétrole.
C’est pourquoi, je suis choqué de voir et entendre des hauts parleurs et experts en tout genre, parler par voie de presse, appelant à la l’éthique, à la morale, bref à la bonne gouvernance alors qu’ils ne sont pas eux-mêmes clean.
J’avoue qu’au Sénégal, nous avons une opposition déboussolée, qui, depuis sa surprenante défaite contre le candidat Sall, essaie de trouver la petite bête pour renaître de sa mise à mort.
Elle s’oriente plus dans la calomnie et la diffamation pour essayer de provoquer, par des canaux non maîtrisés de lobbies, des tensions sociales non fondées et dangereuses pour la stabilité du pays. Elle ne comprend pas les dégâts collatéraux diplomatiques de nos différentes positions au sein du conseil de sécurité.
C’est pourquoi d’ailleurs, le Président Sall doit rester très agile et prudent quant à l’attitude de nos opposants politiques qui sont en fait des opposants affairistes, comme on le constate, prêts à s’allier avec l’ennemi du Sénégal pour vendre sa peau et celle du peuple.
Ils ne sont pas au dessus de la loi. Dura lex, sed lex. Ils doivent répondre de leurs actes s’ils veulent mettre le pays dans le chaos.
Malheureusement, les questions diplomatiques ne peuvent pas être étalées sur la place publique, comme dans les autres domaines, mais voilà un exemple qui montre toutes les limites de cette bande d’aigris que sont Abdoul Mbaye, Mamadou Lamine Diallo, Thierno Alassane Sall et Sonko, tous défenestrés et désavoués par le peuple.
Ils se montrent de plus en plus haineux et stupides vis à vis de Macky Sall, ignorant sa main tendue au nom du dialogue national, pour le flinguer à boulet rouge. Quelle méchanceté gratuite ! Bon, comme le disent les Ivoiriens, en étant trop bon, tu deviens finalement bonbon à croquer.
Président watt sesss ! Vous avez en face de vous des ennemis, ni plus ni moins. Alors refaites votre monture et croquez-les avant qu’ils ne vous bouffent.
Le territorialiste