PITCHS – Ils seront vingt candidats, tous étudiants, à sacrifier aux rigueurs du concours Ma thèse en 180 secondes (MT180), lundi 16 juillet 2018 à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Le MT180 se déroule sur scène devant public. Cette compétition francophone a pour valeurs et missions principales de mettre en lumière la relève scientifique dans toutes les disciplines; d’encourager les jeunes chercheurs à vulgariser leurs travaux de recherche; de les sensibiliser à l’importance du dialogue entre les sciences et la société; de leur offrir un contact direct avec le public; de leur permettre de réseauter avec des chercheurs d’autres disciplines et d’autres pays, tout en valorisant la langue française ainsi que de favoriser l’ouverture à d’autres publics, d’autres rencontres, d’autres cultures, fait savoir un document transmis dimanche à Maderpost
Par conséquent, il s’agit pour les vingt candidat, de développer un esprit compétitif et pour des objectifs précis.
Pour réussi un tel pari, les candidats ont besoin de créer une “ambiance conviviale et décontractée”.
Cette années, les présentations de MT180 rencontrent les plus hautes MT180 – 2018 – Sénégal 2 normes de qualité, tant sur l’aspect scientifique qu’en termes de vulgarisation et de communication avec le grand public.
À travers l’organisation de cette compétition destinée au grand public francophone, les institutions participantes visent les trois objectifs suivants : “Permettre aux jeunes chercheurs de toutes les disciplines d’acquérir et démontrer de solides compétences transversales en vulgarisation et en communication, et ainsi de contribuer à l’établissement d’une génération de chercheurs qui seront aussi des acteurs au sein de la société, capables d’établir des liens avec les citoyens, les enseignants, les décideurs, les entreprises ou encore le jeune public; – Soutenir les jeunes chercheurs dans leur travail et dans la mise en valeur de leur recherche; – Établir des relations durables entre les doctorants, dès le début de leur carrière, au-delà des frontières et dans toute la Francophonie.”
Habib NGOM