La présidente de l’Association Lumière pour l’Enfance, Coumba Gawlo Seck s’est rendue à la Pouponnière de la Médina, hier vendredi 20 septembre 2024, dans le cadre d’une visite d’aide et de courtoisie, accentuée sur l’importance que revêtent l’affection et la bonne éducation que chaque enfant est en droit d’attendre de ses devanciers.
VISITE – Il s’agit de l’accomplissement d’une œuvre de bienfaisance menée de main de maître par l’Association Lumière Pour l’Enfance dont la diva à la voix d’or est la présidente. Coumba Gawlo vient d’effectuer une de ces visites d’aide et de courtoisie dont elle est décidément seule à détenir le secret.
Cette fois, le lieu ciblé est la Pouponnière de la Médina. Il était onze heures tapantes ce 20 septembre 2024 lorsque l’artiste a foulé le sol de ce couvent inauguré le 5 août 1955. Dès sa descente de voiture, la chanteuse est chaleureusement accueillie par la Sœur Marie-Louise Diène, directrice de l’établissement entourée de l’ensemble de son personnel. Un parterre de journalistes sur place a immortalisé son déplacement.
Coumba Gawlo, en guise de bienvenue, est reçue avec beaucoup d’égards au sein de la direction pour les besoins d’un tête-à-tête. La suite de la visite a duré deux tours d’horloge et a été entièrement consacrée aux 89 enfants actuellement sous l’aile protectrice de cette pouponnière.
Ces derniers, âgés de 0 à 3 ans, sont répartis comme suit. Ils sont 55 garçons et 34 filles. 14 parmi eux sont des orphelins, 20 ont fait l’objet d’abandon et 55 restent des cas sociaux, a fait savoir la directrice dans son discours adressé à la diva. Celle-ci, dans sa réponse, a relevé pour le magnifier, le dévouement légendaire des sœurs.
Elle a également accentué son intervention sur l’importance que revêtent l’affection et la bonne éducation que chaque enfant est en droit d’attendre de ses devanciers. Chants traditionnels d’accueil, ambiance bonne-enfant et moments de communion ont rythmé cette visite de Coumba Gawlo qui, à coup sûr, a marqué la pouponnière et restera à jamais dans ses annales.
Maderpost