La célébration de la journée internationale des droits de la femme et divers sujets politiques ont été largement mis en exergue par les quotidiens de ce vendredi 8 mars 2024, parvenus à la rédaction de Maderpost.
REVUE DE PRESSE – Sous le thème « Voix précieuses », Bés Bi (le jour) zoom sur des femmes de médias à l’occasion du 8 mars, journée internationale des droits de la femme. Le journal rend hommages à ces femmes, l’une des pionnières comme Annette Mbaye D’Erneville, « première journaliste sénégalaise diplômée, hommes, femmes, y compris ». Mais aussi, Maimouna Ndour Faye et Absa Hane : « agressés mais pas vaincus ». La chargée de communication des femmes de médias, Oumy Régina Sambou qui défend : « le secret d’une société heureuse réside dans l’épanouissement des femmes ». Aminata Diop, ancienne coordonnatrice du journal Le Quotidien revient sur sa « convocation à la Dic (Division des investigations criminelles) et son enfant à allaiter ». Nafissatou Diouf, directrice générale de la société de Télédiffusion du Sénégal (RTS), « l’être moderne », du journalisme à la politique, relate-t-il.
« Fabuleux destins des héroïnes de l’ombre », titre l’Observateur qui s’interroge sur la situation des femmes dans le monde rural, « mots pour maux ». Confrontées à toutes sortes de difficultés, elles se battent pour assurer leur survie et celle de leurs familles.
SudQuotidien signale : « le pourvoir change de camp », entre conquêtes et acquis des femmes sénégalaises : un long chemin parsemé d’embuches. La publication indique ces cas d’école comme Médecin-colonel Youhanidou Wane Dia : « l’efficacité dans la discrétion et l’humilité ». Outre, la présence des femmes dans les instances politiques et de décisions est encore moindre au Sénégal, Anta Babacar Ngom seule femme candidate à la présidentielle 2024.
Pour son portrait du 8 mars, L’AS place le curseur sur Docteur Marie Khemess Ngom Ndiaye, ministre de la Santé et de l’Action sociale, « un modèle de résilience et de performance ».
Le Soleil transfert le débat à la date de l’élection présidentielle, « les 7 sages et le président s’accordent », publie-t-il. D’après la publication, le conseil constitutionnel, qui avait fixé la date de la présidentielle au 31 mars, s’aligne sur le président de la République pour l’organisation du scrutin à la date du 24 mars 2024.
Libération renseigne que « les 7 sages adoptent le décret de Macky Sall », la campagne électorale débute le samedi 09 mars 2024 à 00 heure pour se terminer le vendredi 22 mars à minuit.
« La présidentielle en 16 jours chrono ! », affiche VoxPopuli. Le CNRA (Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel) réactualise sa décision du 31 janvier, fixant le temps d’antenne des candidats à l’élection présidentielle. S’agissant de la durée réduite de la campagne : Abdoulaye Makhtar Diop prévient contre « une cause de nullité du scrutin présidentiel ». Par ailleurs, la plateforme F24 réclame « le choix d’une personnalité neutre et indépendante » pour l’organisation de l’élection.
LeQuotidien note « 15 jours pour convaincre », le conseil constitutionnel met « fin à la polémique », la campagne électorale débute demain samedi à minuit.
Enquête pour sa part remarque « le casse-tête des candidats », en sus de l’effet surprise, les candidats sont confrontés au défi des moyens et du temps. A moins de 20 jours du scrutin, la parution informe qu’il n’y a « aucune lisibilité dans les agendas des candidats ».
« Triste sortie de piste », édite WalfQuotidien. La parution décrypte la fin de mandat difficile de Macky Sall avec le « report raté de la présidentielle, fermeté du conseil constitutionnel, les contradictions entre autres », ses derniers mois au pouvoir sont mouvementés.
En sport, « L’OM de Sarr et Iliman explose Villareal », sur le score de (4-0) hier jeudi, en 8èmes de finale aller de l’Europa League, nous dit Stades. Le quotidien du sport révèle que l’Olympique de Marseille (OM) est inarrêtable depuis l’arrivée de Jean-Louis Gasset sur le Banc, « 16 buts inscrits en 4 matchs ». L’international Sénégalais, Ismaïlia Sarr, « un des meilleurs Marseillais actuellement », constate-t-il.
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