1416 femmes ont été violées entre 1992 et 2010, entre la Casamance, la Guinée-Bissau et la Gambie, d’après les révélations d’une enquête réalisée par l’association ’’touche pas à ma sœur’’ sur les viols perpétrés par des rebelles.
VIOLS – Selon le président de l’association, Ismaïla Kamba, le viol est devenu monnaie courante dans les zones de conflit.
Kamby et son équipe ont investigué pendant sept mois, de novembre 2020 à mai 2021.
Bien que l’Armée sénégalaise soit aux aguets pour démanteler les réseaux rebelles établis en Casamance, beaucoup d’entre les déplacées hésitent toujours à rentrer au bercail, de peur de faire l’objet de nouvelles violences physiques et sexuelles, ont-ils alerté.
Maderpost / Emedia