Toute intervention de la CEDEAO au Niger sans le consentement de la junte au pouvoir depuis le coup d’Etat contre Mahamad Bazoum serait considérée comme un acte de guerre cotre le Niger, ont dit lundi les délégations burkinabé et malienne à la sortie de l’audience avec le CNSP.
NIGER – Ils ont demandé aux chefs d’Etat de la CEDEAO “d’arrêter d’affamer les populations” avec leur décision prise de mettre le Niger sous embargo.
Ils ont de plus rappeler aux chefs de l’Etat de la CEDEAO que leur choix militaire devrait plutôt se porter sur les terroristes qui dictent leur loi depuis 10 ans.
L’ultimatum adressé par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) aux putschistes du Niger pour qu’ils rendent le pouvoir a expiré dimanche soir à minuit.
Maderpost