Ce médecin gastro-entérologue de Sydney avait évoqué le 16 décembre dernier une étude australienne de haut niveau impliquant un nombre d’institutions telle la Monarch University, a déclarant que l’ivermectine entravait non seulement la multiplication du virus mais encore le désintégrer ou tuer, Maderpost est allé à la recherche de cette molécule ou spécialité au principe actif du nom dans les pharmacies, en vain. CORONAVIRUS – Une seule prise réduit de 5000 fois le virus en 48h. La combinaison Ivermectine + Doxyciclyne + zinc pour le traitement de la covid 19 dont le Dr. Borody s’est fait le champion en Australie, est grâce à lui disponible pour les généralistes dans ce pays. L’Australie est un des pays du bloc occidental qui reconnaît donc officiellement l’utilité de l’ivermectine. « C’est un médicament disponible sur ordonnance. On ne l’utilise pas tout seul. On y ajoute la doxycycline (antibiotique de la famille des tétracyclines qui inhibe la synthèse protéique des bactéries) et le zinc», avait dit le praticien. «Il y a presque 100 % de réussite. Nous n’avons pas encore de résultats en-dessous de 100 %. Nous n’avons pas commencé à utiliser ce traitement sur les patients australiens. Nous l’avons utilisé aux USA et les accès que j’ai sont là où nous avons eu un test sur 14 hôpitaux au Bengladesh. Nous avons eu 100 % de réussite. En Chine, ils ont essayé de le reproduire et ils ont eu 60 guérison sur 60 comparé avec des résultats moins impressionnants avec l’hydroxychloroquine», a encore le médecin. «Je suis donc derrière le traitement Ivermectine + Doxycycline + zinc car il y a très peu d’effets secondaires ( 4% ont eu des maux de tête) et c’est un vrai tueur du coronavirus», prône le Dr Thomas Barodi. L’ivermectine est prescrit contre la gale. On l’utilise contre le stochoralis en gastro-entérologie. Il a été bien utilisé à l’étranger contre divers parasites surtout en Amérique du Sud et en Afrique. En Amérique du Sud, ils ont donné l’ivermectine à un quartier entier dans une ville. Personne n’a attrapé le coronavirus, d’autres quartiers oui. Ce traitement fonctionne en prévention de l’infection et comme remède pour les gens qui souffrent déjà de symptômes. «Il y a beaucoup de publications sur des essais. Ce traitement est utilisé en Inde. Des docteurs prennent ce traitement en cure préventive en Australie et beaucoup le prennent aux USA mais ça ne sort pas dans la presse.» Je parle avec des gens aux USA qui sont médecins qui développent le covid, de la fièvre, des maux de tête, qui perdent le goût et l’odorat et en 24h la fièvre et le mal de tête, le mal de gorge disparaissent. C’est un traitement qui agit très rapidement dans la médecine clinique. Si on n’en parle pas beaucoup, c’est parce qu’il n’y a pas de grosses compagnies pharmaceutiques derrière. C’est un traitement bon marché et disponible rapidement. » L’Ivermectine Le médicament utilisé pour le traitement de l’onchocercose est l’ivermectine (nom de marque Mectizan®). A la différence des médicaments antérieurs, qui avaient des effets secondaires graves – parfois mortels – , l’ivermectine est sans danger et peut être utilisé à grande échelle. C’est également un médicament très efficace qui à lui tout seul, a transformé la vie de millions de personnes souffrant de l’onchocercose depuis son introduction en 1987. Mode d’action L’ivermectine tue les larves de Onchocerca volvulus – les microfilaires – qui vivent dans le tissu sous-cutané de la personne infectée. L’on pense qu’il paralyse ou tue les microfilaires progressivement, évitant ainsi les réactions inflammatoires intenses qui se produisent lorsque celles-ci meurent naturellement. Le traitement à l’ivermectine soulage les démangeaisons intenses au niveau de la peau et stoppe la progression vers la cécité. L’ivermectine ne tue pas les vers adultes mais arrête pendant quelques mois après le traitement la reproduction des microfilaires par les vers femelles adultes, réduisant ainsi la transmission. Du fait que les vers adultes peuvent continuer à produire des microfilaires jusqu’à ce qu’ils meurent naturellement, l’ivermectine doit être pris une fois par an pendant 16 –18 ans pour interrompre la transmission. Dans les pays de l’APOC, l’on estime que 65% de la population totale vivant dans une zone endémique donnée doit prendre l’ivermectine chaque année pour éliminer l’onchocercose comme problème de santé publique. Dosage L’ivermectine est pris oralement sous forme de comprimés. Une seule dose de 150 à 200 µg/kg du poids corporel doit être prise annuellement pour être efficace. Le dosage dépend de la masse corporelle de la personne, qui peut se calculer simplement selon la taille de l’individu. Disponibilité En 1987, le fabricant de l’ivermectine – Merck & Co., Inc.. – a annoncé qu’il fournirait gratuitement l’ivermectine pour le traitement pendant aussi longtemps que cela serait nécessaire. Cette donation sans précédent est administrée par le Programme de Donation du Mectizan, qui travaille avec les ministères de la santé et d’autres partenaires pour distribuer le médicament.]]>
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