Le congrès de l’Union internationale de conservation de la nature (UICN) à Marseille se situe à une année charnière entre le faible bilan de la décennie écoulée en matière de biodiversité et les objectifs à atteindre d’ici 2030 et 2050. NATURE – Un congrès pas comme les autres. Le rendez-vous quadriennal de l’Union internationale de conservation de la nature (UICN) qui ouvre ses portes le 3 septembre 2021 à Marseille s’inscrit dans un contexte très particulier. L’épidémie de Covid-19 n’a pas seulement bousculé l’agenda de l’organisation internationale. Elle a démontré avec puissance que des liens perturbés entre l’Homme et la nature lui étaient fortement préjudiciables. Cette zoonose spectaculaire affectant la planète toute entière révèle l’impact que peuvent avoir la déforestation, l’exploitation irraisonnée des espèces sauvages, l’accélération des épidémies provoquées par la vitesse des échanges internationaux. Le constat a été fait dans d’autres enceintes internationales (OMS, PNUE). L’UICN y apporte le savoir des écologues et gestionnaires des espaces naturels. Des objectifs de préservation de la nature à définir
à la une
- BAL 2024, l’AS Douanes chute devant APR du Rwanda
- Billets noirs, nouvelle saisie record d’une contrevaleur de 3,4 milliards
- LDC, le Borussia Dortmund sort le PSG et file en finale
- Afrique de l’Est, les inondations ont fait 236 morts, 750.000 sinistrées…
- L’UA tire le bilan de la première décennie d’exécution de son Agenda 2063
- Foncier à Mbour 4, Dr Babacar Diop se lave à grande eau
- Finale retour coupe Caf, Issa Sy au sifflet !
- Diomaye à Ouattara : « Nous pouvons encore faire plus»