Enfin, on court au vaccin. La raison semble l’emporter. Certainement, grâce à la conscience de soi, que l’on se découvre, après avoir vu la mort conquérir les foyers et saturer les cimetières de poumons cramés et reins dévastés. [audio m4a="https://www.maderpost.com/wp-content/uploads/2021/07/Route-de-la-Corniche-O-Dakar-8.m4a"][/audio] Ainsi, l’esprit du ressenti, ravagé par le torrent de douleurs qui décime nos familles, a pris le dessus sur celui de la pensée divaguant, n’allant guère plus loin qu’il ne le devrait, malheureusement. La marche du monde dont le nouvel ordre fait droit, appelle la conscience de soi, de nouvelles attitudes, des postures plus franches, des connaissances et compétences plus pointues, des résultats plus élaborés, une prise en charge plus efficace pour une traduction plus efficiente de notre potentiel en plein potentiel. Ne dit-on pas que nous avons tout ? Mieux, que nous sommes l’avenir ? Mais, cela suppose un changement de paradigme, qui commence par la décision de ne plus être à la remorque. De prendre définitivement fait et cause pour la renaissance. De tourner définitivement le dos à l’inféodation, sous toutes ses formes. Cela fait beaucoup de décisions à prendre. A nous de choisir. Assumer notre avenir ou le voir s’effriter au bénéfice des puissances, en devenir ou en souffrance, dans ce tourbillon qui se dessine à mes yeux, comme une purge mondiale, dans une humanité se redessinant et recomposant les nouveaux termes des accords et principes post Covid-19. Après les ères d’après 1945, de la guerre froide et la mondialisation, arrive celle du tout digital et de la sélection dont le filtre pourrait bien être la science. D’où nos questions existentielles ! Se vacciner ou non. Pourquoi ? Pourquoi pas ? Mais, au moment où les autorités occidentales démocratiques emboîtent le pas à la Chine, dirigiste, pour la globalisation dictatoriale, à 100%, du vaccin anti-covid-19, prendre le risque nous autres Sénégalais de rater le wagon de la vie, n’est-il pas prendre le train de la purge sélective ? Certes, on peut se demander quelle composition nous injecte-t-on ? Mais ces laboratoires ont-ils la possibilité et la logistique pour en fabriquer de bons pour les Aryens et de mauvais pour les Negus ? Si cela se discute c’est que cela se tranche aussi. Comme me le faisait remarquer un médecin, en quoi le Sénégal est-il différent du Brésil, de l’Inde ou encore de la Tunisie, pour que ce qui leur tombe dessus ne nous arrive pas ? Regardons quand même du côté des labos abandonnés de Hann qui fabriquaient jadis des vaccins, même si le temps presse. Prenez soin de vous. Vaccinez-vous, testez-vous. Vive la vie ! Jummah mubarak et bon week-end à tous Charles FAYE ]]>
