L’élection présidentielle prévue en 2024 occupe encore les débats. A l’image de beaucoup de Sénégalais qui évoquent le cas de Karim Wade et de Khalifa Sall, le Président fondateur de Think tank Africajom center, lui, n’imagine pas une Présidentielle organisée sans les ténors de l’opposition Khalifa Sall, Karim Wade et Ousmane Sonko. ELECTION PRESIDENTIELLE – Alioune Tine trouve qu’apaiser le climat politique est l’unique solution qui pourra rassurer l’opinion. Pour réussir ce pari, pense Alioune Tine, le système politique sénégalais doit être revu. Dans son compte twitter il ajoute : « Les partisans de Karim Wade et de Khalifa Ababacar Sall n’étaient-ils pas naïfs de croire qu’un président qui pense à un troisième mandat puisse rétablir dans leurs droits deux redoutables adversaires. En Afrique, les dialogues politiques visent le plus souvent à dissiper les tensions post-électorales, à donner une légitimité aux présidents contestés. Ces dialogues sont vite recommandés par la “communauté internationale”. Par ailleurs, on ne sait toujours pas si la CREI a décidé de ne plus poursuivre certains opposants passés dans le camp présidentiel (ministres, députés, etc.) ou si ces personnes ont obtenu un non-lieu. Aucune communication à ce sujet ». Maderpost / Igfm]]>
à la une
- Sandiara, un gang de voleurs de motos Jakarta démantelé
- Biennale, ABV apporte sa touche « Quand l’Afrique nourrit le monde »
- Arcop-Aser, la Cour suprême a rendu son verdict
- L’officialisation de la victoire de Pastef au menu des quotidiens
- Nouvelle majorité au Parlement, de l’urgence du budget du Sénégal ! (Par Magaye Gaye)
- Division spéciale de cybersécurité, Moustapha Diakhaté convoqué ce vendredi
- Législatives 2024, Pastef rafle 130 des 165 sièges (résultats provisoires officiels)
- La CPI émet des mandats d’arrêt contre Netanyahu, Gallant et Deif