Pendant son grand entretien avec la presse le 31 décembre, le chef de l’Etat avait affirmé que l’arrestation de certaines personnes pourrait faire sombrer le pays. Aussi il met le coude sur certains dossiers. Cette affiliation était jugée par certains Sénégalais comme l’aveu de l’immixtion du pouvoir Exécutif dans le pouvoir judiciaire. UMS – Interpellé sur la question pendant sa conférence de presse, le magistrat Ousmane Chimère Diouf, Président de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) donne sa réponse sur la question. A l’en croire, c’est une déclaration que les magistrats ont entendue au même titre que tous les autres Sénégalais. En effet, dit le juge Diouf, peut-être le Chef de l’Etat parle de dossiers avant la saisine de justice. » C’est avant que nous ne soyons saisis sans doute parce que c’est nous qui rendons la justice et personne d’autre ne peut le faire à notre place » précise le Président Diouf. Maderpost / Seneweb ]]>
à la une
- 38e Sommet de l’UA, entre poker et coulisse
- 4ème édition du forum de la PME
- la BAD investit 98,3 millions d’euros pour moderniser et étendre le Port autonome de Cotonou
- La stratégie pays 2022-2026 de la BAD pour le Bénin donne des signaux très positifs à mi-parcours
- Le triomphe historique du Niger sur la cécité des rivières est une lueur d’espoir pour l’Afrique.
- Faites-nous rêver !
- Présidence de la BAD : Le Gabon apporte son soutien à Amadou Hott
- Gestion des chiffres des finances publiques, Arona Oumar Kane a montré la voie

