Présentés au tribunal des flagrants délits, ce lundi, pour diffusion de fausses nouvelles et offense à une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du président de la République, les mis en cause Bah Diakhaté et Imam Ndao vont attendre jusqu’au 3 juin prochain pour connaitre leur sort.
TRIBUNAL – Face au juge tribunal des flagrants délits ce lundi 27 mai 2024, le procureur a requis contre les accusés à « Six mois de prison et une amende de 100 000 francs Cfa ».
Cependant, l’affaire Bah Diakhaté et l’imam Cheikh Tidiane Ndao est mise en délibérée le 3 juin prochain. Les mis en cause sont poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles et offense à une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du président de la République (article 254 alinéa 2 du Code pénal).
Maderpost