Lors de son grand oral avec la presse internationale, Khalifa Sall est revenu sur l’affaire de viol qu qui pèse sur son allié Ousmane Sonko. DOSSIER SONKO-ADJI SARR – L’ex maire de Dakar déplore dans ce dossier l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques : “Ousmane Sonko était un fonctionnaire des impôts qui, après son engagement en politique, a été révoqué puis radié de son corps d’origine. Lui-même a dit qu’il était prêt à être jugé. Mais on a voulu faire de ce dossier une exploitation politique, destinée à juger un adversaire. Je parle de la manière dont la procédure se déroule, qui sue la manipulation politique. S’il s’agissait d’un simple citoyen, on l’aurait convoqué, il aurait déféré à sa convocation, on l’aurait entendu et il aurait été jugé. Mais puisqu’il était député et opposant, les gens se sont dits : « On va le casser ! »” Pour autant, Khalifa Sall a exprimé sa sympathie à la victime présumée Adji Sarr : “Ce que vit la jeune Adji Sarr est difficile. Elle pourrait être notre fille, donc nous la plaignons et nous nous devons de la préserver. Elle a été jetée en pâture, ce qui est anormal. Mais des adultes, dont des hommes politiques, ont abusé de sa naïveté pour lui faire vivre cette situation. Il y a eu trop de publicité dans cette affaire” Maderpost / Emedia]]>
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