L’affaire prend de l’ampleur. Son fils, Souleymane Sidy Seck, accusé de viol sur une mineure de 15 ans, le célèbre journaliste Cheikh Yérim Seck n’a pas tenu sa conférence de presse prévue hier lundi, 29 juin, sous la pression des organisations de femmes. VIOL PRESUME – “Le dossier est entre les mains du procureur. C’est une affaire qui a traîné, à telle enseigne que les gens ont pu avoir des doutes quant à une volonté d’étouffer l’affaire”, souligne l’avocat de Louise, la victime présumée de viol, dans des propos repris par Les Echos. Dubitatif, Me Moïse Amadou Ndior de poursuivre : “je trouve que c’est anormal qu’une plainte pour une affaire d’agression sexuelle puisse traîner depuis plusieurs jours sans connaître de suite. Ma cliente est en train de subir des pressions et est rentrée à Ziguinchor. Elle subit des pressions psychologiques et sa fille est traumatisée. D’ailleurs, elle est rentrée avec sa mère”. D’après la plaignante, ses camarades et elle avaient l’habitude de se rendre chez Souleymane Sidy Seck pour réviser leurs leçons et faire des exercices. Seulement, le jour des faits, Louise aurait été invitée par le mis en cause. En l’absence des parents, ils auraient entretenu des relations sexuelles. Selon Louise, ce n’était pas un rapport consenti. Maderpost / Emedia ]]>
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