PRESSE-Concernant l’affectation et la désaffectation des terres du domaine national, Le Témoin quotidien écrit que « désormais, toute délibération d’affectation et désaffectation du foncier dans le rural est soumise à l’approbation de l’autorité administrative, notamment le sous-préfet, le préfet et le gouverneur ».
Le journal en déduit que « Macky Sall place les conseillers municipaux sous surveillance ».
« Désormais, explique L’As, les conditions d’affectation et de désaffectation des terres de culture ou de défrichement établies dans le domaine national sont adossées sur l’étendue de la superficie à délibérer. »
Le journal note que « dans un décret daté du 16 septembre 2020, le chef de l’Etat a fixé les nouvelles règles ». « Macky déshabille les élus au profit des nommés », commente le journal via sa manchette.
Selon Enquête, « alors que les préfets semblent être les grands perdants, les gouverneurs les principaux gagnants, les maires, eux, vont apprendre à s’adapter au nouveau schéma ».
« Alors qu’ils étaient nombreux à craindre ou attendre-c’est selon—une réforme très profonde, les Sénégalais ont eu droit à une réformette », poursuit le journal.
Le sujet fait également la une du journal Quotidien selon lequel « Macky responsabilise les autorités administratives » concernant l’affectation des terres.
« Au Sénégal désormais aucun Conseil municipal ne peut affecter des terres à une tierce personne sans passer par le Préfet soit par le Gouverneur », informe le journal.
Ce journal revient également sur la tension qui a prévalu à l’occasion de la tenue, jeudi, du conseil d’administration de la Société africaine de raffinage (SAR).
Le quotidien du Groupe Avenir Communication explique que « mécontent d’avoir été éjecté du Conseil d’administration (…), l’ancien Pca Khadim Ba a tenté d’empêcher par la force la rencontre qui devait installer les nouveaux administrateurs ». Le journal parle d’une « scène déconcertante » au siège de la société.
Vox Populi consacre sa Une à l’interdiction faite à la veuve de Chiekh Béthio Thioune, Sokhna Aida Diallo, de célébrer le Magal à Ngabou.
Selon le journal, « alors qu’elle a renoué avec la tradition en débarquant à Ngabou avec près de 2000 bœufs, pour y célébrer le Magal, le 6 octobre prochain, Sokhna Aida Diallo a vu au même moment une +Fatwa+ être prononcée à son encontre ».
Le journal précise que celle-ci « porte la marque du dahira+Safinatoul Aman+ », la police religieuse de Touba, qui a agi ainsi sur ordre du Khalife général des mourides.

