Les Etats-Unis, la France et bien d’autres pays plus riches que le nôtre fléchissent, sous les poussées massives et destructrices, d’un covid prétendument découvert en novembre 2019.
Quand bien même un fascicule de brevet européen, confirmerait une demande sous l’appellation «Nouvelle souche de coronavirus associé au Sras et ses applications» déclinée en trois langues, français, allemand et anglais. Déposée le 2 décembre 2004. Enregistrée sous le numéro EP 1694 829 B1 et enfin publiée avec mention de délivrance du brevet le 4 août 2010, via le bulletin 2010/31 de l’Office européen des brevets.
Et pour boucler la boucle, l’invention demandeuse d’une publication internationale, relative à une nouvelle souche de coronavirus, associé au syndrome respiratoire aigu Sévère, le SRAS, est issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 à Hanoi, au Vietnam, en 2003.
Sans blague, je me croirais en pleine lecture du rapport de la CIA, présenté il y a plusieurs années par un certain Alexandre Adler, dans lequel il disait comment sera le monde en 2020.
Il y a quelques semaines, pour ce qui me concerne, sur ces ondes, je rappelais que la fiction pouvait être plus forte que la réalité. Allant même jusqu’à convoquer de mémoire le film prémonitoire, Contagion, de Steven Sodergergh, sorti en 2011. Je ne savais pas si bien dire.
Guerre bactériologique ou virologique. Boulimie de fric ou pas des industries pharmaceutiques ou de recherche et que sais-je encore ! Peu importe !
Le mal est là. Terrifiant ! Inféodant l’humanité à sa loi de droit de vie et de mort. Contraignant le monde à se réajuster. Pris de court et encore, sait-on jamais, les puissants régleront peut-être leur comptes après. S’il leur reste encore un brin d’humanisme.
Chez nous, où tout est à faire et où malheureusement l’essentiel fait place aux artifices, le seul mot d’ordre, celui du choix de la vie, se discute. Encore et encore. Comme toujours ! En dépit des derniers développements de la propagation du coronavirus. Des appels du gouvernement à la responsabilité citoyenne. Des nombreuses mesures annoncées. Rien ne se fait comme il faut.
Les interpellations des Chinois glissent sur l’irresponsabilité. L’invite de l’Organisation mondiale de la Santé se heurte au silence de la BCEAO, de la CEDAO, de l’Union au moment où se prennent des décisions invraisemblables Aux Etats-Unis et en Europe.
C’est peut-être notre choix. Encore heureux qu’il y ait des leaders, des hommes et femmes, qui se mobilisent pour éviter le pire. Que Dieu nous en préserve, afin que les jours prochains ne se transforment pas en un cauchemar national.
Charles FAYE