Après avoir “refusé” de répondre aux questions des éléments de la Section de recherches puisqu’il est un officier supérieur, puis “exigé” la présence d’un avocat, le retraité colonel Abdourahim Kébé a finalement “accepté” d’être auditionné sur procès verbal, a-t-il dit après sa libération mardi, selon le site igfm.
PRESIDENTIELLE – Devant les enquêteurs, il a “reprécisé” sa pensée, indique le site.
«Il faut le (son post) prendre au sens littéraire du terme. À ce titre, la riposte populaire peut-être perçue comme un appel à une réaction démocratique énergique pour que les votants se mobilisent massivement en faisant de leurs cartes d’électeur une arme. Au lieu de parler de fusil ou d’actes de violence, il s’agit du bon usage de la carte d’électeur», a-t-il dit aux pandores, dit le site, citant sa source le quotidien «Libération».
Le colonel a la retraite a ajouté qu’il n’a jamais cautionné la “révolte” et la violence, qu’il est profondément républicain et respectueux de la stabilité des institutions de la République.
Il ajoute d’ailleurs avoir supprimé son post pour éviter les amalgames.
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