Les quotidiens de ce vendredi 19 janvier 2024, ont largement mis en exergue le duel des « Lions » à 17H00 opposant le Sénégal et le Cameroun, pour la 2ème journée du groupe C de la CAN 2023. De plus, la réplique de Cheikh Tidiane Dieye, candidat déclaré à la présidentielle du 25 février 2024, sur le recours de Amadou Ba au conseil constitutionnel.
REVUE DE PRESSE – Le Sénégal défie ce vendredi le Cameroun à 17H00, au Charles Konan Banny en match comptant pour la 2ème journée du groupe C de la Coupe d’Afrique des Nations ( CAN) Côte d’Ivoire 2023.
« Duel de Lions à Charles Konan Banny », retient l’AS. « Se qualifier dès ce soir », indique Stades qui rapporte : « un match avec beaucoup d’intensité », a lancé le sélectionneur du Sénégal Aliou Cissé. Son homologue camerounais Rigobert Song signale que son « équipe affichera un autre visage », dit-il. Pendant ce temps, Moussa Niakhaté, Sabaly (Sénégal) et Vincent Aboubakar (Cameroun) sont « forfaits » pour cette rencontre nous souffle le quotidien du Sport.
Le quotidien national mentionne que « nos « Lions » prêts à rugir », aujourd’hui.
Dans ce sillage Les Echos avertit « un combat de Lions qui s’annonce épique ». Sur ce, milieu sénégalais déclare : « si les camerounais veulent la guerre, ils l’auront », en revanche, Georges Kévin des « Indomptables » prévient qu’« il ne faut jamais enterrer le Cameroun ».
L’Observateur évoque de son coté, « On la veut romanesque », une victoire pour se qualifier aux huitièmes de finale. Un choc où : « le réveil attendu » de Sadio Mané, Mendy-Onana, « le duel des anges gardiens », Lamine Camara, « l’enjeu de la confirmation et la menace jaune », soupire la parution.
C’est dans ce contexte que SudQuotidien enchaine « le choc des Lions », ce qui fait dire Vox Populi « un duel de Lions aux allures de revanche ».
En outre, loin du débat sportif, VoxPopuli revient sur la réponse du Le leader de « Avenir Sénégal Bi Niou Beug », accusé d’appartenir à l’ex parti Pastef, « Cheikh Tidiane Dièye réplique à Amadou Ba », publie-t-il. Le candidat juge ces accusations « quelle faiblesse !» et « assume tout ce compagnonnage » avec Ousmane Sonko avant de préciser, « en aucun cas, nos entités ne sont fusionnées ». Pour lui, « notre premier ministre (Amadou Ba) ne veut pas faire face à ses opposant. Il en a une peur bleue », argue C.T. Dièye.
Pendant ce temps, WalfQuotidien remarque « Diomaye, Dièye, Sonko et Karim en sursis », avant la publication de la liste définitive des candidats retenus, prévue demain samedi 20 janvier pour le scrutin 2024.
Enquête pour sa part observe : « l’opposition divisée » pour le report ou non de la présidentielle de février prochain. En effet, la publication renseigne que la quarantaine de recalés par le conseil constitutionnel réclament « un report », alors que, Ousmane Sonko se démarque du groupe, même si cette proposition pourrait lui « permettre de se remettre en selle ». Par contre, « on ne doit même pas penser à un report de la présidentielle, parce que c’est nous tous qui avions donné notre accord sur le code électoral », défend le patron de « Taxawu Sénégal », Khalifa Sall.
Tribune s’inquiète sur l’élimination automatique de candidats, « gros risque d’abstention » qui peut être perçue comme le signe d’un recul démocratique. Suite à des tensions politiques persistantes qui « découragent les électeurs », constate le journal.
Libération place le curseur dans l’affaire « Coline Fay, une expulsion en mode fast-track ». La jeune française, arrêtée depuis le 17 novembre, a été transférée à la DIC (Division des investigations criminelles). Elle a été escortée depuis par les agents à l’AIBD puis mise dans vol en partance pour Paris, hier, jeudi soir. « Ses deux mandats de dépôt ont été levés le même jour après un arrêté du ministère de l’intérieur », informe-t-il.
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