Le dernier obstacle avant la publication de la liste définitive des candidats retenus pour participer à la présidentielle du 25 février 2024 et le sport sont les sujets les plus commentés par les quotidiens de ce jeudi 11 janvier, parvenus à la rédaction de Maderpost.
REVUE DE PRESSE – Après l’étape de parrainage, place « la dernière haie qui attend les vingt-et-un candidats validés », note Le Soleil indiquant qu’il s’agira d’étudier, dans le fond, les différentes pièces de dossiers de candidature au conseil constitutionnel, avant la publication officielle des candidats qui vont participer au scrutin du 25 février 2024.
En ce sens, l’Observateur souligne « le dernier saut périlleux » pour la validation des candidatures à la présidentielle 2024. La parution renseigne que l’organe chargé de vérifier les dossiers de candidature va étudier les « 8 pièces restants ». Une autre étape difficile pour les candidats surtout avec « les casiers judiciaires et l’attestation prouvant qu’ils sont en règle avec la législation fiscale du Sénégal », nous dit-il.
SudQuotidien renchérit « l’exactitude des 9 pièces, l’autre obstacle des candidats », avant de faire une autre lecture sur l’organisation d’une élection présidentielle transparente et crédible, « défi d’un scrutin », remarque-t-il. Malgré les nombreuses complaintes déjà enregistrées vient s’ajouter, « le jeu trouble de l’administration territoriale et électorale », et « l’inaction inquiétante des nouveaux membres », souffle-t-il.
Bés bi (le jour) plonge le débat à « la mer des batailles » sur les mesures de sécurité maritime prises par l’Etat du Sénégal. Selon la publication il y a « l’acquisition de nouveaux navires patrouilleurs de dernière génération, des outils de gestion comme la Hassmar, la coordination entre les forces de défense et de sécurité entre autres », relate-t-il.
Libération s’interroge sur le trafic de cocaïne, l’axe Dakar-Anvers-Dubai, « des pions du cartel albanais arrêtés à Dakar », signale-t-il. En effet, « la cocaïne était réceptionné dans des balles de friperie à Fass-Mbao puis réexpédiée à Anvers et Dubaï via des mules ». A cet égard, « le Sénégalo-belge Amadou Ba interpellé à l’Aibd alors qu’il s’apprêtait à embarquer pour Bruxelles », poursuit-il.
Pendant ce temps, les Echos reste préoccupé à la mort de l’enfant de 5 ans à Keur Mbaye Fall. Le journal avance que « le propriétaire du véhicule remis en liberté », ce que des habitants du quartier dénoncent, « la thèse de la mort naturelle rejetée ». Une vendetta dirigée contre son « domicile attaqué », rapporte-t-il. En outre, le journal se déplace en Côte d’Ivoire à 72H de l’ouverture de la Coupe d‘Afrique des Nations CAN 2024 (13 janvier-11 février), « Yamassoukro accueille à bras ouverts les lions », constate-t-il. De plus, « l’hôtel président de Yamoussokro félicité Sadio Mané avec un bouquet de fleurs », par ailleurs, l’ancien ministre des sports, « Yankhoba Diatara décline l’invitation de Lat Diop (actuel ministre) », souffle les Echos.
Stades quotidien se demande « pourquoi le Sénégal doit compter sur Aliou Cissé », pour cette 4éme CAN de suite avec les « Lions ». En effet, c’est « un entraineur d’extérieur d’expérience, sur les pas de Shahata et Gyamfi ». Porté à la tête de l’équipe nationale au sortir d’une CAN 2015 désastreuse, le bilan du sélectionneur « El tactico » est : « 18 matchs de CAN : 12 succès, 3 nuls, 3 défaites, 23 buts marqués et 6 encaissés », remarque-t-il.
« Aliou Cissé burkérise la « tanière » », écrit Le Soleil soulignant que la première séance d’entrainement d’hier, mercredi 10 janvier, n’a pas apporté grand-chose aux journalistes qui n’ont eu droit qu’aux quinze premières minutes.
Maderpost