Comme beaucoup de sénégalais, Moustapha Diakhaté estime que le Sénégal a frôlé la catastrophe lors des évènements de mars dernier. Dans le « Grand Jury » de la Rfm, il a déclaré que le pays est passé à un doigt de la prise du pouvoir par l’armée. MANIFESTATIONS DE MARS – « Moi personnellement je suis intervenu, à la demande de mon ami Alioune Tine pour que les violences s’estompent. Parce qu’on a frôlé la catastrophe. Entre le 3 mars et le 8 mars. Le 8 mars c’était le jour de tous les dangers où véritablement le sénégal pouvait s’écrouler. On a frôlé la catastrophe, on a même frôlé la prise du pouvoir par l’armée ou même par la rue. Ce qui serait un échec terrible pour notre pays qui, depuis 1960, a mené une vie républicaine continue sans interruption militaire. On a frôlé cette catstrophe entre le 8 et le 14 mars. C’est pourquoi je suis intervenu avec d’autres sénégalais notamment les chefs religieux pour que la paix revienne, que la Justice fasse son travail en dehors de toute pression, ce qui a été obtenu puisque Ousmane Sonko a été inculpé et placé sous contrôle judiciaire. La paix est revenue. Mais cette paix il faut la consolider. Et pour cela, il faut de la responsabilité. » Maderpost / Igfm]]>
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